Et c’est reparti pour un tour…

Après deux belles années passées sur Paris, je remets ça… Je repars en PVT !

Whaaaaat ? Mais elle en n’a pas marre ? … Jamais 😉

L’inconvénient du fait de travailler dans une agence de voyages c’est qu’à force de voir les gens partir à la découverte de notre belle planète et d’en apprendre toujours plus sur des destinations qu’on ne connaissait pas bien, c’est que ça démange un peu de repartir…

Il était donc temps de repartir un peu à l’aventure même si c’est avec regrets que je quitte ma super team de la com’.

Le PVT késako ?

C’est un dispositif qui permet aux jeunes de 18 à 35 ans de partir au Canada (il existe dans plein d’autres pays d’ailleurs) pendant deux ans en bénéficiant d’un permis de travail ouvert (qui n’est pas lié à un emploi donné, ce qui permet une plus grande flexibilité).

C’est le visa idéal pour ceux qui partent en voyage sans trop d’économies : ils peuvent travailler au fur et à mesure pour le financer. Dans le cas du Canada, ce visa est aussi bien souvent une porte d’entrée pour ceux qui souhaitent s’y établir durablement : il permet de découvrir tous les recoins du pays avant de s’installer et de faire la demande de résidence permanente.

C’est quoi le plan ?

Et bien le plan c’est qu’il n’y en a pas ! (ma grand-mère ne s’en remet toujours pas d’ailleurs ^^)

L’idée c’est de voyager au maximum en restant ouverte aux opportunités et aux rencontres qui finalement mettent du piment dans un voyage.

Pourquoi ça ne va pas être comme l’Australie ?

Bon premier point qui me semble plutôt évident, le Canada c’est pas l’Australie ! (ah vous l’aviez pas vu venir celle-là hein ?)

Plus sérieusement, c’est une culture, une façon de vivre, des paysages et une nature que je ne connais pas et qu’il me tarde de découvrir.

Second point, je pars toute seule cette fois-ci ! (Mamie t’es toujours là ?) Après une escapade madrilène qui m’a bien plu, j’ai choisi d’opter pour un nouveau petit tête à tête avec moi-même 😉

C’est surtout que le Canada me fait de l’oeil depuis un moment, pourquoi donc attendre que mes dates de voyage et mes envies coïncident en tous points avec celles des autres ? Et puis tous les voyageurs vous le diront, quand on baroude on est rarement tout seul 😉

Dernier point, contrairement à l’Australie, je n’ai pas de billet retour au moment du départ. Ce qui veut dire que je me laisse la possibilité de rentrer au bout de 3 semaines, 2 mois ou encore 6 mois. Si je ressens le besoin de rentrer quelques semaines/mois, je n’hésiterai pas à le faire non plus. Et puis en même temps c’est quand même vachement moins loin que l’Australie. Tu vois Mamie on va s’en sortir 😉

Bon allez trêve de parlotte, j’ai un sac à boucler moi 😉

Rendez-vous le 15 juin 😀

Et pour patienter jusque là, n’hésitez pas à lire ou relire mon aventure australienne 😀